[article]
Titre : |
l'ombre de Malebranche : providence divine et volonté générale dans la correspondance entre Leibniz et Arnauld |
Type de document : |
LIVRE |
Auteurs : |
Steven M. Nadler, Auteur |
Année de publication : |
Janvier - mars 2015 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Arnauld, Antoine (1612-1694) Malebranche, Nicolas de (1638-1715) Philosophie moderne
|
Résumé : |
La première lettre d’Arnauld à Leibniz, le 13 mars 1686, fut écrite peu de temps après la publication de ses Réflexions philosophiques et théologiques contre le Traité de la nature et de la grâce de Malebranche, dans lesquelles il critique la manière dont l’oratorien rend compte de la nature et de l’étendue de la providence divine. Or, bien que les premiers échanges entre Arnauld et Leibniz semblent privilégier la question de la liberté divine, le problème de la providence est lui aussi bien présent. J’essaie de montrer que les positions d’Arnauld sur la providence, d’abord dirigées contre Malebranche dans les Réflexions, aident à jeter une lumière nouvelle sur ce qui constitue l’objet principal de ses préoccupations quand il réagit négativement au sommaire de l’article XIII du Discours de métaphysique, et que les réponses de Leibniz aux objections d’Arnauld ont elles-mêmes été influencées par sa connaissance précise de la controverse entre Arnauld et Malebranche. |
in Archives de philosophie > Tome 78, cahier 1 (janvier-mars 2015)
[article] l'ombre de Malebranche : providence divine et volonté générale dans la correspondance entre Leibniz et Arnauld [LIVRE] / Steven M. Nadler, Auteur . - Janvier - mars 2015. Langues : Français ( fre) in Archives de philosophie > Tome 78, cahier 1 (janvier-mars 2015)
Catégories : |
Arnauld, Antoine (1612-1694) Malebranche, Nicolas de (1638-1715) Philosophie moderne
|
Résumé : |
La première lettre d’Arnauld à Leibniz, le 13 mars 1686, fut écrite peu de temps après la publication de ses Réflexions philosophiques et théologiques contre le Traité de la nature et de la grâce de Malebranche, dans lesquelles il critique la manière dont l’oratorien rend compte de la nature et de l’étendue de la providence divine. Or, bien que les premiers échanges entre Arnauld et Leibniz semblent privilégier la question de la liberté divine, le problème de la providence est lui aussi bien présent. J’essaie de montrer que les positions d’Arnauld sur la providence, d’abord dirigées contre Malebranche dans les Réflexions, aident à jeter une lumière nouvelle sur ce qui constitue l’objet principal de ses préoccupations quand il réagit négativement au sommaire de l’article XIII du Discours de métaphysique, et que les réponses de Leibniz aux objections d’Arnauld ont elles-mêmes été influencées par sa connaissance précise de la controverse entre Arnauld et Malebranche. |
|  |